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[ Groupe Praedichnia ] Cette Nanogyra nana a été victime d'un Gastéropode carnivore qui a percé la valve droite (operculaire) grâce à sa radula (~ mâchoire qui agit comme un trépan) ou/et par l'émission d'acide. Le forage est situé sous le crochet, au bord de l'empreinte musculaire (cf jlam288a) mais les Gastéropodes ne cherchent pas à ouvrir la coquille (comme le font les Astéries) : ils dissolvent le Lamellibranche avant de l'aspirer à l'aide de leur trompe par l'orifice qu'ils ont creusé. | |||
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[ Groupe Praedichnia ] Oichnus simplex sur la valve gauche (adhérente) d'une Nanogyra virgula: le trou, bien rond, est creusé perpendiculairement à la coquille (son bord n'est pas biseauté). | ||||
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Fragment de Gervillella couvert de taraudages, leur grand nombre et la taille excluent les principaux gastéropodes prédateurs. | ||||
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Cette petite forme de Gastrochaenolites parallèles au substrat ne semble tarauder que des Lamellibranches, principalement les grandes huitres. | ||||
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Cavités de Gastrochaenolites sur un fragment de valve d'huitre. | ||||
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Fossettes losangiques sur une Huitre. Des spécimens des invertébrés responsables de cette bioérosion sont conservés et semblent être des coraux. | ||||
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| ( Dévonien - Actuel ) | |||||
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Traces de perforations d'une valve d'huitre par des cirripèdes acrothoraciques. | ||||
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| ( Dévonien inf. - Tertiaire ) | |||||
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Les Polychètes (vers à soies) responsables de ces perforations sont considérés (MOURITSEN) comme ectoparasites de L'Huitre (ne pénètrent pas la chair) qu'ils affaiblissent (énergie allouée à la reconstruction de leur coquille plutôt qu'à la croissance) et fragilisent au point de pouvoir en faciliter la prédation. C'est le cas pour cette Deltoideum delta: les nombreuses perforations ont provoqué une fissure qui a facilité l'installation de nouveaux spécimens, entretenant ainsi la zone de fragilité. Informations provenant d'une thèse de T.RUELLET sur des infestations d'huitres actuelles par des Polydores. Les tubes devenant parallèles à la coquille au cours de la croissance, ils sont bien visibles sur la face interne de la valve. | |||
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Toujours sur la partie interne d'une valve de Deltoideum delta, des séries ressemblant à des "micro-pincements" de la surface de la coquille. Chacune comprend 3 à 5 "cônes" alignés et séparés par un espace très faible et à peu près constant. La première photo présente les deux séries les plus rapprochées, la seconde, un agrandissement de l'une d'elles. | |||
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Traces branchues circulaires qui se dichotomisent au sein d'une valve d'une huitre, leur répartition se limitant aux abords d'un tube de serpule. | ||||
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