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| ( Bajocien - Pliocène ) | |||||
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[ Groupe impedichnia -- Hydroidolina ] Nombreuses ouvertures semicirculaires assez régulièrement réparties (plus erratiques sur certains exemplaires du jurassique) et couvrant toute la longueur préservée des tubes. L'interaction conduit souvent à de fortes pauses de croissance traduites par un aspect rugueux du tube du vers. Les "capuchons" ("hoods") coiffant ces ouvertures ont une morphologie variable selon l'espèce du vers hôte, pouvant même former des sortes de petits tuyaux. |
![]() Hydroidolina actuel (13 Ko) |
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[Groupe impedichnia -- Hydroidolina] Les dimensions exceptionnelles de l'ouverture, son unicité, l'apparente quasi-absence de chambres et l'interaction inédite avec une valve d'Huitre pourraient exlure l'ichnogenre Protulophila. C'est en effet mon seul spécimen d'Hydroidolina (avéré par les réseaux de stolons affleurant entre les 2 formes oblongues de jich046a et sur jich046b) non associé à un tube de Polychète, ce qui ne semble pas documenté malgré une récente découverte de Protulophila actuels dans un pot en Nouvelle-Zélande. | ![]() jich046b.jpg (50 Ko) | ||
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[ cyanobactéries ] Une telle régularité de dichotomisations caractérise Abeliella, bien que la trace affleure (ne relève pas d'une micro-perforation) : il est vaisemblable qu'elle se soit développée à la surface de contact d'une autre huitre adhérente dont on apercoit la trace. Ce fossile révèle la présence de cyanobactéries ("algues bleues") si on se réfère aux exemplaires des coquilles actuelles tandis que celles des substrats phosphatés (racines de dents fossiles) seraient liés à des fungi. | ||||
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[ cyanobactéries ] La structure tubulaire (pyritisée) affleure ici au sein de l'empreinte musculaire de l'huitre. | ||||
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Traces similaires à la précédente mais superposées et partiellement entrelacées. | ||||
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![]() jore123a.jpg (38 Ko) |
Polydiadema du Kimméridgien infesté par des Copépodes (cf B et D). "La structure des kystes indique qu'ils n'ont pas été produits par les Copépodes eux-mêmes mais par l'Oursin qui a encapsulé les Copépodes aves la calcite de son test. En conséquence, le lien des Copépodes avec l'extérieur passe par un nombre variable d'orifices circulaires; Ils ne sont donc pas en contact avec les organes de l'échinoderme" (U.RADWANSKA & E.POIROT, 2010). | |||
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Deux colonies encoutant une valve d'huitre. Elles présentent en périphérie une série de cavités dont les "digitations" sont orientées vers l'extérieur du zoarium (cf agrandissement de jbry020). La colonie a intégré l'hôte en ménageant un "plancher" dépourvu de loges tandis que celles autour sont complètes, ce qui exclue une action de perforation ainsi qu'une particularité liée à la présence de gonozoides. | |||
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