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ripple-marks, cone-in-cone, oolithes |
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Les ripple-marks sont des traces laissées par les vagues sur le sable et peuvent consister en crêtes parallèles ou formant des cuvettes comme sur cet exemplaire. N'ayant pas d'origine biologique, ce type de fossile ne peut être intégré au sein des pages "ichnofossiles". | ||||
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Des niveaux sableux expulsés d'une faille par des fluides sous pression, suggérant une activité synsédimentaire (HATEM et AL, 2014). | ||||
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[vues basale, latérale: détail, latérale] Ce faciés sédimentaire provient vraisemblablement d'un nodule allochtone: il pourrait alors renforcer l'hypothèse du "tsunami deposit". Il figure aussi sur la page pseudofossiles avec les hypothèses d'identifications erronées les plus vraisemblables. |
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Une méconnaissance de la sédimentologie m'avait conduit à identifier une accumulation d'Ostracodes. Cette roche à Oolithes caractérise un milieu agité peu profond compatible avec l'environnement côtier du Boulonnais au jurassique supérieur. Une origine biologique n'est pas exclue, des bactéries ayant pu servir de support aux précipitations carbonatées. | ||||
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Quelques Ooides de ce spécimen montrent en coupe le nucléus (partie creuse) entouré du cortex dont la structure est lamifiée. Le terme Oolithes décrit précisément ces petites structures minérales sphériques creuses puisqu'il signifie "pierre oeuf" (littéralement en Grec). [informations provenant de Wikipedia]. | ||||
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