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Classe CHONDRICHTHYES, Sous-classe ELASMOBRANCHII, Infra-classe EUSELACHII, Cohorte NEOSELACHII, Super-ordre GALEOMORPHII, Ordre HETERODONTIFORMES, Sous-ordre HETERODONTOIDEI, Famille HETERODONTIDAE, Genre PARACESTRACION - |
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Classe CHONDRICHTHYES :
Huxley, 1880 :
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"Regroupe des espèces pour la plupart marines, dont le SQUELETTE est cartilagineux,
les ECAILLES sont de type placoïde (dermo-épidermiques, une couche de dentine et une d'émail),
cinq à sept paires de FENTES BRANCHIALES,
présence de CLASPERS PELVIENS chez le mâle (utilisés lors de la fécondation),
nageoire caudale de type HETEROCERQUE."
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Sous-classe ELASMOBRANCHII :
Bonaparte, 1838 :
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"CORPS allongé portant deux nageoires dorsales,
squelette des NAGEOIRES PECTORALES de type tribasal,
cinq ou six paires de FENTES BRANCHIALES et présence d'un spiracle."
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Famille HETERODONTIDAE (Cestraciontidae, Centraciontidae ) :
Gray, 1851 :
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( Jurass - Actuel ) |
Description relevée dans le Traité de Paléontologie de PIVETEAU:
"CORPS subcylindrique, TETE volumineuse et haute, pas de cartilage rostral,
MACHOIRE faisant le passage entre le type amphistyllique et hyostyllique,
BOUCHE subterminale."
Cette famille est étroitement apparentée à celle des Hybodontidae dont il faut sans doute rechercher les origines en son sein.
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( Eur: Jur. Sup. ) |
L'absence de squelette articulé laisse la taxonomie des petites dents attribuées à ce genre douteuse: le genre Heterodontus pouvant être considéré comme congénérique.
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Paracestracion falcifer :
Wagner, 1857 :
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"Dents dont la COURONNE apparaît plate et ovale en vue labiale avec une CUSPIDE proéminente et deux ou trois paires de petites cuspides latérales.
La CUSPIDE PRINCIPALE est gracile et aplatie, flanquée de cuspide latérales courtes et arrondies."
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Paracestracion (Cestracion, Heterodontus) falcifer :
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jjou002.jpg (32 Ko)
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[de haut en bas & gauche à droite: jjou002:vues aborale, labiale, linguale et labiale supérieure]
Fossile de la collection Y.JOUQUAN qui est aussi l'auteur des photos et m'a communiqué cette proposition de détermination.
La validité du genre Paracestracion est contestée (CAPPETTA) et sa présence dans le Nord de la France n'est pas totalement établie (J.KRIWET et S.KLUG).
Néanmoins, les découvertes d'aiguillons isolés attribuables au genre Paracestracion dans le Boulonnais permettent de l'y mentionner.
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